- UN CATALOGUE...
- QU'EST CE QU'UN "BON CONCEPT" ?
UN CATALOGUE DE CONCEPTS
Quelques projets et concepts existent sous forme de dossiers et sont proposés "prêts à monter",
"clefs en mains", tous droits cédés .
Une analyse de vos besoins, envies, contraintes,... est faite avec vous et...avec rigueur. Une selection et une proposition personnalisée est ensuite établie.
Chaque fiche contient une présentation rapide de l'idée et du concept.
Les noms choisis ne sont que provisoires et indicatifs. Le nom définitif, sera retravaillé pour intégrer des specificités propres au porteur de projet, au marché, etc.
Les dossiers complets, contiennent l'exposé de l'idée, sa généalogie, son fondement marketing, le modèle économique, le modus opérandi, l'étude de rentabilité, les voies de développement, les annexes intégrant notamment la résolution de problèmes techniques ou autres, les études de marché,...
Les élements contractuels sont ensuite abordés.
UN "BON" CONCEPT ...
Pour faire savant, voilà ce qu’on peut dire d’un concept :
« Nous ne mangeons pas les choses parce qu’elles sont bonnes mais pour l’histoire qu’elles nous racontent »
Un concept commercial, notamment dans la restauration, raconte une histoire à ses clients. Plus il y a de clients qui se retrouvent dans cette histoire, plus le concept est « performant ».
Mais lorsque nous prenons la parole, c'est toujours un peu de nous que nous parlons.
Aussi, un concept, en tant qu’histoire racontée par celui qui l’a imaginé, est aussi une sorte d’autobiographie de ce dernier.
Et les clients qui "adhèrent" à cette histoire se reconnaissent donc dans cette autobiographie.
Mais s’y retrouvent également tous ceux qui y participent. C'est le cas, au premier chef, de celui qui s'y investi et qui le reprend à son compte pour le développer: le porteur de projet.
C'est aussi le cas des dirigeants, des autres investisseurs, etc. Et, à l’idéal, bien sûr, lorsque le management est bien mené, ce sont les salariés eux-mêmes qui se retrouvent dans cette
histoire qui devient un peu la leur…
Alors, dans notre expérience, un bon concept (qui va faire un bon projet) doit être :
- une parenthèse de vie, dans le registre de la consommation, qui raconte une histoire qui plait à plein de gens.
Cette histoire doit être la plus universelle possible afin que le plus de gens possibles retrouvent un peu de leur propre histoire en elle. Plus cette histoire est universelle, et donc un peu "transculturelle", plus il y a de possibilité de multiplier les points de vente. - par conséquent, doté d'un fort potentiel de développement
- une solution pour le consommateur.
La proposition doit répondre à un besoin et constituer une solution à un problème parfaitement défini pour le client. En tant que telle et si possible, il doit constituer une meilleure alternative que celles des concurrents. - simple à comprendre par ceux à qui il s’adresse et donner envie dès le premier abord.
- facile à mettre en œuvre, avec des savoir-faire peu compliqués, facilement transmissibles, des investissements standards et peu couteux, un fonctionnement simple.
- doté d’une rentabilité bonne, sans forcément chercher l'excellence, voire seulement moyenne, mais toujours facile à obtenir du fait d’investissements peu élevés, de marges brutes suffisantes, d’un contrôle facile à opérer.
- assorti de risques limités et maîtrisés avec, notamment, des investissements les plus légers possibles et un seuil de rentabilité bas.
- structuré de façon modulaire.
Pour une bonne adaptabilité et un développement aisé, autour d’une base simple, il suffit alors de rajouter des « modules » (comme des briques pour un mur) pour s’adapter spécifiquement à un marché et/ou démultiplier ce qui existe déjà. Il est ainsi également évolutif. - distinctif sans pour autant être trop différent.
De préférence, il s’appui sur des techniques ou des produits ayant déjà fait leurs preuves. Mais, en les présentant ou en les utilisant différemment, il apparait nouveau et attire l’attention. En réalité il n’innove pas mais constitue une « novation », ce qui rassure à la fois les clients et les investisseurs et facilite les études préalables, la communication et le lancement. Mais il ne s’agit pas pour autant de rejeter la technique, les recherches et les avancées technologiques qui peuvent venir en arrière plan pour améliorer le fonctionnement. - simple à mettre en œuvre avec une formation du personnel facile et rapide à opérer afin que le recrutement soit plus basé sur la personnalité que sur les pré-requis techniques ou métier.
(Re)définir un concept dans le contexte de la restauration revient à dire:
"Quel que soit le restaurant, il y a toujours un concept derrière.
Qu'il soit fort ou ténu, qu'il ait été longuement pensé ou qu'il se soit construit au fil de l'eau, du temps et de l’expérience, c'est lui qui assure la durabilité.
Un restaurant c'est toujours comme une histoire qu'on raconte au client (ou que le client se raconte à lui même).
Ce dernier y est comme dans un film auquel il participe, avec un script, un décor, des acteurs, dans une ambiance, un rythme, des moments forts...
Le concept est ce qui permet d'orchestrer tout ça. C'est le scénario.
Il en va des concepts comme des films: il y en a de bons et de mauvais ! Certains deviendront des classiques, d'autres disparaitront très vite...
Et il en va de même pour les réalisateurs!... On peut être doué pour écrire le scénario mais pas pour faire la mise en scène, et inversement !
Et le bon réalisateur est aussi celui qui saura s'entourer: assistant, chef opérateur, script, preneur de son, accessoiriste, habilleuse, monteur,...acteurs..., grâce aussi à une bonne et solide
production sur laquelle il peut s'appuyer.